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       Stress lors des examens/concours

Ah… les examens et les concours ! Combien de fois s’est-on senti démuni face à l’examinateur, face à une page blanche ou encore face à des consignes que l’on ne comprenait pas ? Combien de fois avons-nous senti cette peur nous retournant le bide et faisant de nos jambes du coton, incapables de nous soutenir ? Combien de fois avons-nous pesté entre ce qu’il y a à l’intérieur de nous et ce que nous avons été (in)capables d’extérioriser ? Pas de panique, je vous explique tout !

Explications
Cas d'un patient
Diagnostics et solutions artistiques

Explications

 

L’interrogation, le contrôle, l’examen ou le concours sont injustes car ils peuvent être perçus comme des couperets. On est admis ou pas… induisant que l’on est bon… ou pas !

Or, combien de fois a-t-on pu vérifier que la note (ou la prestation en général que l’on fournit) ne reflétait pas nécessairement les qualités de l’individu ?

Qui n’a pas, par exemple, adoré un professeur suppléant non diplômé face à son professeur officiel agrégé mais ennuyeux à mourir !?

 

« Les diplômes sont faits pour les gens qui n’ont pas de talent. Vous avez du talent ? Ne vous emmerdez pas à passer le bac », disait l’humoriste Pierre Desproges, un brin provocateur. Facile à dire quand on a réussi à construire une réputation et un univers… nettement moins quand on cherche encore à prouver à la société qu’on vaut malgré tout quelque chose ! Et on aura beau dire qu’il ne faut pas attendre le regard de la société, d’une institution, d’un professeur ou de ses parents pour reconnaître sa vraie valeur… il n’empêche : l’examen ou le concours est un rite de passage qui – qu’elle que soit sa valeur – est préférable de réussir pour une meilleure construction de soi.

 

Pour celles et ceux ayant vécu trop d’échecs (ou perdant systématiquement leurs moyens le jour d’une épreuve), je vous encourage avant à regarder deux autres articaments. Pour une meilleure appréciation de ce qui va suivre, posez-vous effectivement les bonnes questions :

 

 

Cas d'un patient représentatif

 

Sur tous les patients venus me voir pour ce problème, j’ai remarqué que les causes de ces peurs face aux examens étaient toujours multiples. Aussi, pour vous faire réaliser, par la lecture, les mécanismes sournois qui se logent plus ou moins consciemment dans votre esprit dès lors que vous envisagez une épreuve, j’ai décidé de vous raconter l’histoire que j’ai eue avec un patient pendant six séances. Pour préserver son identité, je changerai son âge, son nom et quelques-unes de ses fonctions… mais le fond de son histoire restera le même. J’espère donc que l’histoire de Jérémy sera pour vous éclairante. J’espère surtout qu’elle vous montrera qu’il est possible de rompre de supposées malédictions et de reparamétrer quelques vieux mécanismes à l’intérieur de vous pour vous reprogrammer au succès… grâce à l’écoute, à l’art, à un environnement sain... et avec une envie sincère de changer et de se remettre en question.

 

N’oubliez pas que ce cas ne reste qu’une histoire propre au passé d’un individu. Ce qui a fonctionné pour cette personne ne sera peut-être pas ce qui marchera chez vous ! Lisez-le donc avec curiosité… en cherchant ce qui peut vous concerner et ce qui est propre à votre histoire de vie.

 

Jérémy a 28 ans. Il est professeur de musique, remplaçant et vacataire, dans un collège. Il vient de rater pour la 4ème fois son concours, ce fameux C.A.P.E.S qui lui aurait permis de devenir un professeur titulaire. Il vient me voir, un peu contre son gré, poussé par un ami commun. Dégoûté, il souhaite tout plaquer.

 

 

- Je sais que je suis un bon enseignant, me dira-t-il la toute première fois ! Et je sais que des connards arrivent à avoir ce concours et que ce qu’ils font, de l’aveu même des élèves et de ma direction, est de bien moindre qualité que ce que je fais ! C’est pas juste !

 

Silence.

 

- Ce concours, de toute façon, c’est de la fumisterie, me dira-t-il. Il ne sert même pas à vérifier si on est de bons enseignants, il nous fait juste faire des trucs chiants – qui n’ont rien à voir avec nos cours – pour écrémer et faire en sorte qu’il n’y en ait juste quelques-uns qui l’obtiennent ! Putain… c’est trop injuste ! Avoir 140 de quotient intellectuel et se retrouver dépassé par des moins bons que soi, c’est vraiment dégueulasse ! Je ne suis qu’un raté… c’est dans mon karma, je crois, c’est comme ça. Mon Destin est de rater tout ce que je fais… J’ai laissé échapper l’amour de ma vie… à 28 ans, j’en suis encore réduit à me faire laver mon linge par ma propre soeur… et j’ai passé des nuits entières pour rien, à répéter 50 fois ces putains de cours pour, au final, louper tout ça d’1/2 point ! Je suis écœuré !
 

Alors ? Quel diagnostic pouvons-nous poser sur ce patient?

 

Avant de délivrer quoi que ce soit, je sais que le piège serait de tout de suite donner à mon patient les bonnes solutions qui l’aideraient à progresser. Pourquoi est-ce une mauvaise idée ?

 

Parce que toutes les bonnes solutions doivent venir de Jérémy lui-même… et non du thérapeute (soi-disant) tout puissant. Si je rentre dans cette configuration, au mieux Jérémy accepte mes propositions… mais je fais de ma personne un démiurge (ce qui faussera la nature du lien que j’aurai avec lui). Au pire, il les refuse, par fierté et angoisse, dégoûté de ne pas avoir trouvé lui-même le saint Graal.

Piégé par cette imposture, il préférera inconsciemment utiliser lui-même ses solutions - mauvaises mais personnelles - plutôt que d’adopter la bonne, venue de quelqu’un d’autre ! C’est comme ça.

 

Mais comment l’aider alors à lui faire comprendre les meilleures solutions – surtout si il ne les voit pas – sans les lui dire directement ?

 

Personnellement, j’utilise à chaque fois au moins 3 procédés :

 

  • La citation (quand elle vient d’une autorité incarnant une certaine idée de la réussite, il est difficile, voire impossible, de la remettre en question). Si cet outil vous parle – ou si vous n’avez pas un réservoir à citations suffisamment fourni, n’hésitez pas à regarder l’item de ce site intitulé « Mes citations et images inspirantes ».

  • L’humour : Marvani se plaisait à dire : « Le rire court-circuite les défenses caractérielles ». Qu’est-ce que cela veut dire ? En utilisant les blagues, l’humour et le rire, nous désamorçons les résistances permettant à la personne de saborder elle-même de vieux mécanismes figés et obsolètes. (cliquez ici!

  • Les métaphores : Mieux qu’un conseil, plus agréable qu’une remontrance, plus puissante et originale qu’une leçon, la métaphore a le pouvoir du symbole. Qu’est-ce qu’un symbole ? Un langage permettant de relier votre conscient et inconscient, votre corps, votre cœur et votre esprit. Venant du grec « sumballein », signifiant relier, il vous permet de créer des ponts et de faire monter en vous des idées, des solutions qui ne seraient jamais venues si on vous les avait simplement adressées à votre conscient, têtu, rebelle et autoritaire. (pour trouver plein des métaphores, vous en trouverez sur ce site en cliquant ici et en regardant/analysant les images inspirantes sur le même thème ici!)

 

Ce principe étant posé, me/nous voici prêt(s) pour poser à présent un diagnostic dans le cas de Jérémy. Qu’ai-je vu/entendu/compris dans tout ce qu’il venait de me dire ?

 

  1. Des croyances limitantes/défense par cognition

  2. Des niveaux logiques décentrés

  3. Des loyautés familiales obsolètes

  4. Des mauvaises méthodes de travail

  5. Une confiance en berne

 

  1. Des croyances limitantes/défense par cognition

Par peur de l’échec, Jérémy préfère dénigrer ce diplôme, qui serait pourtant pour lui un sacré sésame dans sa vie de professeur, plutôt que de comprendre ce qu’il pourrait lui apporter de bons changements. Donner à ce diplôme un aspect dénigrant le rassure face à son échec (quitte à rater quelque chose, autant rater un truc qui ne sert soi-disant à rien) et lui amène aussi de fausses idées. Il vaudrait mieux, selon lui, être intelligent tout seul (et donc non diplômé) face à cette masse de moutons à l’intérieur de laquelle il ne veut pas se reconnaître. Avoir ce diplôme, c’est perdre son intelligence à laquelle il semble si attachée, c’est perdre ce qui a fait sa différence et sa singularité depuis qu’il est né. Fier de sa précocité (il a 140 de Q.I.), Jérémy peut vivre ce que Jeanne Siaud-Facchin (psychologue spécialiste de la précocité) appelle « la défense par cognition ». Pour ne pas souffrir et ressentir toutes ces émotions désagréables, Jérémy préfère se barricader en se protégeant avec ses idées. Mêmes fausses et obsolètes, ces idées-là l’empêchent de souffrir.

En une phrase, il faudrait que je fasse comprendre à Jérémy que l’intelligence ne résout pas tout, bien au contraire ! Parfois, il vaut mieux une bêtise aidante qu’un savoir limitant.

A mon sens, la meilleure métaphore sur le sujet serait « le fer à cheval quantique » (visible sur le site à l’item « Mes petites lectures –suite – »). Jérémy doit comprendre que son intelligence, toute seule, l’amène à l’impasse.

 

 

Le fer à cheval quantique

"Le physicien Werner Heisenberg racontait que le célèbre Niels Bohr, figure centrale de l'école de Copenhague et grand apôtre de la physique quantique, connaissait à Tisvilde, près de sa maison de campagne, un homme qui avait accroché un fer à cheval au-dessus de sa porte! Quelqu'un lui demanda :

- Es-tu un homme superstitieux? Crois-tu vraiment que ce fer à cheval va te porter bonheur?

- Bien sûr que non, répondit l'homme. Mais il parait que ça marche, même si on n'y croit pas."

 

Source : Contes philosophiques du monde entier: le cercle des menteurs, volume  2, Jean-Claude CARRIERE

 

MON AVIS : Cette histoire me rappelle une anecdote que j'ai personnellement vécue. Un jour, alors que j'étais en tant que bénévole au centre de soins palliatifs d'un hôpital, il m'a été donné l'occasion d'accompagner deux personnes, chacune dans deux chambres différentes, de même morphologie, à peu près du même âge, et souffrant du même mal. L'une était une sommité nationale dans son domaine, se plaisant à répéter qu'elle ne croyait en rien... l'autre était perçue comme naïve, croyant à des concepts ésotériques un peu fumeux. Six mois plus tard, le deuxième était en pleine rémission... tandis que l'autre était mort.

 

La morale n°1 ? L'idée, bien entendu, n'est pas de vous faire croire que la science ne vaut rien et qu'elle peut être supplantée par n'importe quelle théorie plus ou moins fumeuse. Absolument pas. Elle est là pour vous rappeler qu'une bétise aidante peut vous être parfois plus profitable qu'une croyance limitante. Cette idée m'a d'abord rendu fou. Quoi? Ce ne serait donc pas les personnes les plus intelligentes les mieux préparées à vivre et à connaître le bonheur ? De toute évidence, non. Les mieux préparées seraient celles (comme l'histoire, sur l'autre page, avec le rat et la lumière), qui ont au plus profond elles, chevilléess au coeur, le sentiment d'espoir. Profane ou divin, petit génie ou gentil simplet, seul l'espoir - et notre capacité à en donner - nous donnerait avant tout ce supplément d'âme qui peut nous faire défaut. Je le sais, à la lecture de cet article, certains sceptiques me diront qu'il vaut sans doute mieux être dans une triste réalité décevante plutôt que de s'emmurer dans un bonheur illusoire. Intellectuellement, le débat est fascinant... mais je ne suis pas sûr que la veuve de la première personne de mon histoire ait vraiment envie de l'écouter.

La morale n°2 ? Ayez à coeur de vous lancer dans des occupations, professionnelles ou non, touchant aussi bien votre coeur que votre esprit. Puissent ces occupations vous nourrir d'espoir et vous faire croire en des lendemains plus sûrs. A quoi bon, effectivement, faire quelque chose de très intelligent si ce quelque chose ne rend pas les gens meilleurs ?

 

   2. Des niveaux logiques décentrés

Robert Dilts, grand PNListe, a un jour élaboré un concept nommé « les niveaux logiques ». Qu’est-ce que c’est ? Un concept redoutablement efficace vous permettant bien souvent de cerner l’origine de votre problème. En voici un résumé ci-dessous :

Que constate-ton ? La pyramide de Dilts cible avec vous les causes d’un ennui et vous propose très simplement d’y remédier en regardant ce qu’il faut faire à l’échelon supérieur. Un exemple ? Commençons par le bas :

 

Environnement : je souhaite arrêter de fumer. Solution : Mon environnement étant toxique (des cendriers à chaque table, des posters magnifiant des fumeurs invétérés, de la fumée incrustée dans tous les tissus de chaque canapé etc.), je me crée un nouveau comportement (proposition de l’échelon supérieur) qui consistera à foutre à la poubelle tous ces fichus cendriers qui me tentent beaucoup trop dans mon addiction à chaque pièce.

Comportement : Je doute de mes capacités à pouvoir jeter de tels cendriers tant ils ont pour moi une valeur affective. Solution : je liste toutes les qualités qui me font dire que j’en suis capable (mon altruisme me pousse à penser à la santé des autres pour qu’ils ne subissent pas le tabagisme passif, mes aptitudes en sport souffriront tôt ou tard de mon addiction si je ne le fais pas tout de suite. Je suis volontaire et déterminé etc.).

 

Le cas de Jérémy, lui, doit de toute évidence se régler au niveau de l’identité (ne dit-il pas, malgré le grand cas qu’il fait de son intelligence : « Je ne suis qu’un raté… c’est dans mon karma, je crois, c’est comme ça. » ?).

Pour régler le problème, Jérémy va donc devoir regarder au-dessus, au niveau du spirituel, des valeurs supérieures, celles-là même qui nous dépassent et nous transcendent.

Qu’est-ce qu’il vaut mieux pour mon patient ? Garder cette supposée intelligence et finir par dépérir tout seul… ou bien la réorganiser parce que les élèves qu il apprécie tant en auraient vraiment besoin ?

 

- Les élèves, c’est ma vie, me dit Jérémy à la deuxième séance.

- Non, lui répondis-je, placidement.

 

Il écarquille les yeux, n’en revenant pas d’être ainsi attaqué.

 

- Quoi ?

- Tu n’aimes pas les enfants, lui redis-je de nouveau !

- ???

- Ben… si tu les aimais, tu ferais ce qu’il faut pour rester coûte que coûte avec eux, non ? Qu’est-ce qui est plus important ? Ton intelligence ou les enfants ?

 

3. Des loyautés familiales obsolètes

 

Ce que dit Jérémy sur sa famille et sa soeur n’est pas anodin pour un jeune homme de 28 ans (« J’ai laissé échapper l’amour de ma vie… à 28 ans, j’en suis encore réduit à me faire laver mon linge par ma propre soeur… »). J’apprendrai, par la suite, que sa soeur n’avait pas fait d’études, son grand-frère était autodidacte. Louper ses diplômes, c’était aussi une façon de les respecter… respect que lui rendait bien sa soeur en lui lavant tous les jours son linge pour le maintenir dans un état immature lui empêchant toute progression. Il fallait donc le déconditionner. Si l’hypnose est un outil puissant pour se défaire de vieilles loyautés familiales, il allait falloir d’abord que Jérémy prenne conscience de ses mauvais liens qui le menaient systématiquement à l’échec.

 

Quels petits contes nous amènent à réfléchir là-dessus. Sur le site, je vous invite à lire :

 

  • Regarde !

  • L’ange Michel-Ange

  • Les moustaches du capitaine

 

L’enfant que nous avons été

 

L’homme et l’enfant
Un homme tomba dans un trou et se fit très mal.
Un Cartésien se pencha et lui dit : Vous n’êtes pas rationnel, vous auriez dû voir ce trou.
Un Spiritualiste le vit et dit : Vous avez dû commettre quelque péché.
Un Scientifique calcula la profondeur du trou.
Un Journaliste l’interviewa sur ses douleurs.
Un Yogi lui dit : Ce trou est seulement dans ta tête, comme ta douleur.
Un Médecin lui lança deux comprimés d’aspirine.
Une Infirmière s’assit sur le bord et pleura avec lui.
Un Thérapeute l’incita à trouver les raisons pour lesquelles ses parents le préparèrent à tomber dans le trou.
Une Pratiquante de la pensée positive l’exhorta : Quand on veut, on peut !
Un Optimiste lui dit : Vous auriez pu vous casser une jambe.
Un Pessimiste ajouta : Et ça risque d’empirer.
Puis un enfant passa, et lui tendit la main...
Anonyme

 

MON AVIS : Le texte suivant nous touche parce que, forcément, nous nous reconnaissons dans une de ces caricatures d’adulte. Des adultes qui sont dépeints par leur métier ou par leurs croyances.
Cet homme qui est tombé dans un trou semble pris au piège. Tous les adultes qui défilent devant lui et pourraient le secourir sont pris dans un piège encore plus redoutable. Ils sont pris au piège de leur métier ou de leur croyance !
La beauté fascinante de l’enfance, c’est cette innocence de la pensée, une pensée en formation qui n’a pas atteint ses limites et poursuit sa marche en avant sans s’attarder sur elle-même. Une pensée sans influences, une forme enviable d’intelligence.
Mais en cours de route, cette pensée si prometteuse patine. Elle s’enferme dans un système qui peut être un métier, une opinion politique, une croyance. Cette pensée ne découvre plus, elle s’enracine et devient calcul, programme, préjugé... cette pensée est dans une impasse. C’est un passage obligé. Dans une impasse, il est toujours possible de faire demi-tour. Faire demi-tour, c’est repenser chacune de ses croyances, repeser chacun de ses engagements, remettre en cause chacun de ses acquis. C’est apprendre à de nouveau penser par soi-même, réinventer ce que sont pour nous l’amour, l’amitié, la vie en société, le rapport au travail, au pouvoir, à la possession...
Dans une société qui nous assène que reculer c’est régresser, ce demi-tour n’est pas facile. Pourtant, la chenille régresse avant de devenir papillon. De même, l’adulte doit régresser pour libérer sa pensée et devenir conscient.

 

   4. Des mauvaises méthodes de travail

 

Pour tout ce qui relève des méthodes de travail, je vous invite d’abord à lire les articles « Problèmes d’apprentissage/mémoire/créativité », "Dys et TSAH" ainsi que l'article intitulé "VAKOG".

 

Ici, qu’avez-vous remarqué ? Jérémy, sur ses méthodes de travail, nous dit :

 

- j’ai passé des nuits entières pour rien, à répéter 50 fois ces putains de cours pour, au final, louper tout ça d’1/2 point !

 

Avec de tels outils de mémorisation, Jérémy ne pouvait effectivement pas aller bien loin… même avec la plus grande intelligence du monde !

Jérémy me révèlera avoir une mémoire visuelle… alors comment pouvait-il retenir des choses en n’arrêtant pas de les répéter (il faisait de l’auditif !) ?

 

En deux séances, nous avons donc revu les bonnes méthodes de mémorisation. Des méthodes que vous pourrez également apprendre et personnaliser  en lisant les deux livres suivants :

5. Une confiance en berne

 

Pour tout ce qui relève des problèmes de confiance, je vous invite d’abord à lire l’article « confiance en soi »

 

Voilà. J’ai ainsi vu Jérémy 6 fois. Il a fini par avoir son C.A.P.E.S… et, pour l’anecdote, il lave aussi à présent son linge tout seul.

 

N’oubliez pas que cet article est un outil, cette "prescription artistique" ne saurait remplacer une prescription médicale ou psychologique. Son objectif est de vous accompagner et de vous aider à trouver le thérapeute qui vous convient. S'il n'a pas complètement répondu à vos attentes, vous pouvez aller consulter l'article réservé à la confiance en soi, aux problèmes d'apprentissage/mémorisation et/ou aux "dys et TDAH".

 

Je vous souhaite bonne chance !

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